Sèche-serviette électrique
Avec IZI by EDF, remplacez le radiateur de votre salle de bain par un sèche-serviette électrique dernière génération !
Conseil & suivi par un expert
Installation par un artisan
Contrat de dépannage offert la 1ère année
Les sèche-serviettes de nos fabricants partenaires Thermor, Atlantic et Acova répondent à tous vos besoins pour sécher votre linge de bain et chauffer votre salle d’eau : chaleur réactive et inertielle, options intelligentes et connectées au smartphone, design à tubes ou à lames, classique, contemporain ou moderne… C’est vous qui décidez !
La puissance de chauffe de l’appareil est une variable clé pour choisir votre sèche-serviette. La plupart des modèles de sèche-serviette disponibles sur le marché présentent une puissance de 500 à 1000 Watts, des plus basiques aux plus performants toutes options.
C’est toutefois la surface de la pièce qui doit guider votre choix. Les experts du chauffage s’accordent sur une puissance d’environ 125 Watts/m² pour les pièces d’eau, aux caractéristiques bien particulières. Pour chauffer une salle de bain de 4 m², il faut donc une puissance de chauffe de 500 W.
Pour toutes les autres pièces de votre maison, il existe une grande variété de radiateurs horizontaux et verticaux, parmis lesquels il sera simple de trouver un modèle adpaté à votre logement.
Attention :
⚠️ Si le sèche-serviette est surdimensionné, l’appareil vous coûtera cher à l’investissement (sans que cela ne soit pour autant nécessaire) ;
⚠️ Si le sèche-serviette est sous-dimensionné, votre radiateur électrique risque le surrégime et de surconsommer.
L’installation d’un sèche-serviette doit être minutieusement réfléchie. Des normes électriques (notamment la NF C 15-100) doivent être prises en compte pour l’espacement entre l’appareil de chauffage et le point d’eau principal (le bac de douche ou la baignoire).
Le sèche-serviette doit être positionné à bonne hauteur pour un branchement sécurisé : ni trop bas (en cas d’inondation de votre salle d’eau), ni trop haut (pour ne pas entrer en contact avec la ventilation mécanique contrôlée, ou bouche d’aération).
Enfin, le sèche-serviette électrique doit être protégé par un disjoncteur adapté au circuit électrique, réservé à la salle de bain. Sans connaissance en électricité, il est recommandé de passer par un professionnel pour installer et placer correctement un sèche-serviette dans la salle de bain.
La consommation d’un sèche-serviette électrique est relative à la puissance de l’appareil et à la période de chauffe. Une salle de bain est temporairement utilisée, généralement le matin et le soir, pour la toilette. En théorie, elle n’est chauffée que quelques heures, mais à une température élevée (22 ou 23°C maximum, recommandé par l’ADEME). L’utilisation d’un sèche-serviette est donc différente d’un radiateur électrique installé dans un séjour, susceptible d’être allumé toute la journée, mais à une température moindre.
Un sèche-serviette de 500 W (soit 0,5 kWh), allumé à raison de 2h par jour tous les jours de l’année est susceptible de consommer 365 kWh/an. Cette donnée est à multiplier par le coût de l’électricité, fixé par votre fournisseur d’énergie. Inutile de chauffer votre linge de bain l’été ? Déduisez dans ce cas plusieurs mois d’utilisation sur la consommation annuelle de chauffage électrique.
Les sèche-serviettes électriques - lorsqu’ils sont en marche - sont susceptibles de consommer beaucoup d’énergie (d’autant plus avec le mode boost, ou soufflerie). Une salle d’eau chauffée par un sèche-serviette doit en effet monter rapidement en température (à 22 ou 23°C environ) pour éviter le coup de froid à la sortie de la douche ou du bain.
Sur les modèles de sèche-serviette à inertie fluide les plus récents, des options vous permettent dorénavant de réduire votre consommation d’électricité et de faire quelques économies :
🕓 L’option de réglage matin/soir pour allumer votre chauffage électrique uniquement lorsque vous utilisez la salle de bain ;
🌡️ Le thermostat pour régler la température au degré près ;
🪟 Les détecteurs de présence et de fenêtre ouverte pour diminuer automatiquement la température en cas d’absence ou de courant d’air ;
📱 Le pilotage à distance pour allumer et éteindre votre sèche-serviette connecté à votre smartphone, aux horaires de votre choix.
Et si vous vous posez des questions, nous avons créé un guide chauffage pour vous aider à y répondre !
La consommation d’un sèche-serviette électrique est relative à la puissance de l’appareil et à la période de chauffe. Une salle de bain est temporairement utilisée, généralement le matin et le soir, pour la toilette. En théorie, elle n’est chauffée que quelques heures, mais à une température élevée (22 ou 23°C maximum, recommandé par l’ADEME). L’utilisation d’un sèche-serviette est donc différente d’un radiateur électrique installé dans un séjour, susceptible d’être allumé toute la journée, mais à une température moindre.
Un sèche-serviette de 500 W (soit 0,5 kWh), allumé à raison de 2h par jour tous les jours de l’année est susceptible de consommer 365 kWh/an. Cette donnée est à multiplier par le coût de l’électricité, fixé par votre fournisseur d’énergie. Inutile de chauffer votre linge de bain l’été ? Déduisez dans ce cas plusieurs mois d’utilisation sur la consommation annuelle de chauffage électrique.
La puissance de chauffe de l’appareil est une variable clé pour choisir votre sèche-serviette. La plupart des modèles de sèche-serviette disponibles sur le marché présentent une puissance de 500 à 1000 Watts, des plus basiques aux plus performants toutes options.
C’est toutefois la surface de la pièce qui doit guider votre choix. Les experts du chauffage s’accordent sur une puissance d’environ 125 Watts/m² pour les pièces d’eau, aux caractéristiques bien particulières. Pour chauffer une salle de bain de 4 m², il faut donc une puissance de chauffe de 500 W.
Attention :
⚠️ Si le sèche-serviette est surdimensionné, l’appareil vous coûtera cher à l’investissement (sans que cela ne soit pour autant nécessaire) ;
⚠️ Si le sèche-serviette est sous-dimensionné, votre radiateur électrique risque le surrégime et de surconsommer.
L’installation d’un sèche-serviette doit être minutieusement réfléchie. Des normes électriques (notamment la NF C 15-100) doivent être prises en compte pour l’espacement entre l’appareil de chauffage et le point d’eau principal (le bac de douche ou la baignoire).
Le sèche-serviette doit être positionné à bonne hauteur pour un branchement sécurisé : ni trop bas (en cas d’inondation de votre salle d’eau), ni trop haut (pour ne pas entrer en contact avec la ventilation mécanique contrôlée, ou bouche d’aération).
Enfin, le sèche-serviette électrique doit être protégé par un disjoncteur adapté au circuit électrique, réservé à la salle de bain. Sans connaissance en électricité, il est recommandé de passer par un professionnel pour installer et placer correctement un sèche-serviette dans la salle de bain.
Les sèche-serviettes électriques - lorsqu’ils sont en marche - sont susceptibles de consommer beaucoup d’énergie (d’autant plus avec le mode boost, ou soufflerie). Une salle d’eau chauffée par un sèche-serviette doit en effet monter rapidement en température (à 22 ou 23°C environ) pour éviter le coup de froid à la sortie de la douche ou du bain.
Sur les modèles de sèche-serviette à inertie fluide les plus récents, des options vous permettent dorénavant de réduire votre consommation d’électricité et de faire quelques économies :
🕓 L’option de réglage matin/soir pour allumer votre chauffage électrique uniquement lorsque vous utilisez la salle de bain ;
🌡️ Le thermostat pour régler la température au degré près ;
🪟 Les détecteurs de présence et de fenêtre ouverte pour diminuer automatiquement la température en cas d’absence ou de courant d’air ;
📱 Le pilotage à distance pour allumer et éteindre votre sèche-serviette connecté à votre smartphone, aux horaires de votre choix.